ARCHIVES
Les 8 joies et plus du golf
On le sait le golf est un sport cruel !
Addictif aussi, on est vite accro mais ce n’est pas seulement cela qui fait qu’on y retourne toujours et encore avec plaisir ? Et bien certainement parce que ce sport procure de grandes joies !
Joie n° 1
Le drive parfait : un pur bonheur de voir sa petite balle blanche partir en fusée dans les airs, bien rectiligne vers le green. Quel soulagement de ne pas aller la mettre OUT !
Joie n° 2
L’approche qui tue ! Après s’être mis dans la galère avec un premier coup « dans les choux », le moral est en berne, le PAR s’éloigne …Et là, un peu avec le mental du joueur-qui-n’ a-rien-à-perdre on réussit parfaitement son approche et hop ! On se remet dans le jeu pile poil sur le green à moins d’un mètre du trou. Quel bonheur 😉
Joie n°3
A la dernière minute…Au golf comme vous le savez, on a que 5 minutes (voir moins dans les faits) pour retrouver sa balle tantôt dans le rough, les sous bois, les herbes hautes, un plan d’eau, sous les feuilles mortes …. Sinon hop une pénalité ! On a donc tout intérêt à la retrouver et rapidement sinon gare à l’équipe qui suit qui commence à râler car le jeu est trop lent. Et au moment où on ne s’y attend plus on jette un dernier coup d’œil résigné et là on l’aperçoit.
Joie n° 4
On peut friser la perfection avec un premier coup fantastique, une approche royale et au moment du putt aïe encore 20 mètres ! Alors quand on tente le putt de sa vie pour viser le birdie ou l’eagle, autant vous dire la joie que vous ressentez en rentrant la balle suite à un très long putt !
Joie n° 5
Pour les épicuriens, la joie est comment pourrait-on dire… périphérique au golf. C’est le bon déjeuner avec un verre de blanc bien frais (à consommer avec modération) après une bonne partie ensoleillée !
Joie n° 6
Une des grandes joies c’est aussi d’aborder un nouveau parcours, de découvrir avec gourmandise les nouveaux PAR, un paysage magnifique avec une belle lumière rasante d’hiver, d’écouter le vent caresser les branches, de tomber nez à nez avec un des oiseaux qui ont élus pour domicile les abords du green…de se reconnecter avec le calme…
Joie n° 7
On a terminé, on sort son smartphone pour saisir son score et là avec le calcul de son index virtuel on a gagné plusieurs index ! Sa performance a progressé, toutes ces heures d’entraînement ont bien payées !
Joie n°8
Aller piquer une tête dans le plan d’eau après un albatros?!!
Et vous ?
La joie des joueurs après le premier round de putt à la compétition de Monifeith-links golf du Nord-Est de l’Ecosse
Source lexpress REUTERS / David Moir
Les principes essentiels – Le drive suite
- bien choisir son drive (voir article sur le choix de son drive) en fonction notamment de sa vitesse de swing ;
- bien choisir la taille de son tee : théoriquement la moitié de la balle doit dépasser de l’arête supérieure du club : la hauteur de tee est donc déterminée par la grosseur de la tête. Si le volume de votre driver est de 400 cm3, voire d’avantage, il faut utiliser des tees plus longs ;
- Adopter un bon grip pour éviter de slicer, le grip est plus dans la doigt et non dans la paume de la main ;
- à l’adresse, la balle est placée en face de son talon gauche, cette position favorise une frappe au moment ou le club remonte légèrement d’où l’absence de divot et de contact avec le sol ;
- pour anticiper le transfert en plaçant 60% du poids du corps sur la jambe droite à l’adresse, son épaule droite doit être plus basse ;
- Au golf, on n’a pas de balle d’essai, il vaut mieux « assurer » et rester sur le fairway plutôt que taper très fort et d’aller dans le décor.
Les essentiels – Le choix du drive
Le drive est le petit plaisir que l’on se fait lorsqu’on commence à être plus à l’aise avec ses fers et qu’on souhaite commencer les 18 trous.
On peut se prendre à rêver et vouloir gagner en distance surtout bien démarrer sa partie avec un départ d’enfer.
Si pour les autres clubs souvent l’esthétisme prime (oh lala les pros vont faire la tête) pour le drive le choix est sans soute plus technique.
Les modèles de drive se différencient surtout sur le choix de l’angle soit le loft (de 8 à 19 degrés) et la taille de la tête du club.
Sur le choix du loft
Pour le driver, si on a une vitesse de swing très rapide, on choisira un loft inférieur pour atteindre le maximum de distance. Si on a une vitesse de swing plus lente, on aura besoin d’un loft supérieur pour faire plus de distance.
L’erreur dans son choix peut donc être lourde de conséquence, ou en tous les cas on ne maximise pas la distance ce qui est dommage. La seule façon de le savoir est de connaître sa vitesse de swing pour obtenir le meilleur angle d’envol pour un maximum de distance.
On comprend alors tout l’intérêt d’acheter son drive dans un pro shop pour avoir un conseil pertinent sur la manière et surtout la vitesse à la quelle on swing.
Je vous rassure tout de suite, ce n’est pas du tout ce que j’ai fait puisque que j’ai choisi mon drive un dimanche matin sur un site par internet (beaucoup moins cher).
Quelques indications tout de même, a priori la vitesse de swing est de 104 km/h pour une golfeuse moyenne, et plus de 136 km/h pour un golfeur moyen. On notera que les champions (hommes) avec un drive atteignent de 217 à 250 km/h .
Pour atteindre la distance maximum d’un driver 10 degrés, vous aurez besoin d’une vitesse de swing (avec contrôle !), d’environ 160 km/h. Pour obtenir le maximum de distance d’un driver 9 degrés, la vitesse de swing doit être d’au moins 177 km/h.
Ainsi, pour la plupart d’entre nous, (ceux qui drivent à un peu plus de 125 km/) la distance maximum est obtenue avec des clubs de 11, 12 et 13 degrés.
Ouf j’ai acheté un drive avec un loft de 13° ! Enfin, pour être parfait dans son choix, et passer d’un loft statique au loft dynamique, il faut aussi prendre en compte son angle d’attaque, mais bon…
Autres critères importants, le choix de la tête de club.
La taille de la tête de club influe sur la rigidité du manche au niveau du tip soit la partie basse la plus fine du shaft, si le manche se plie facilement vers l’avant, cela augmente le loft dynamique du driver (le tige du club).
Ensuite, on a le offset qui est le décroché entre le shaft et la tête. Ce « coude » offre quelques micro secondes supplémentaires à la tête de club pour se refermer avant la collision avec la balle. Le offset a comme intérêt de réduire le « slice » et d’augmenter l’angle d’envol de la balle.
Le volume de la tête du driver varie de 400 à 450 cm3 (les règles du Royal & Ancient St Andrew’s spécifient que le volume d’un driver ne doit pas excéder 460 cm3). Plus le volume du club est important, plus le centre de gravité est situé en arrière du shaft et plus la balle monte. C’est pour cette raison que les bois ont cette forme « ovoïde ».
Enfin, la face de club appelé le roll a également sa « petite » importance dans la trajectoire de la balle.
Bref, le mieux avant d’investir est d’avoir le conseil d’un professionnel (lors d’un fitting).
Pour ma part, je joue avec un drive avec un loft de 13° et une tête de club de 450° mes résultats sont pas mal pour un début.
voici le mien
voici celui d’Anne
et vous, qu’avez-vous choisi?
Les essentiels – Les « grands » principes du golf
De manière générale :
- développer sa propre routine, ça rassure …
- mieux vaut bien visualiser le coup à jouer avec une technique moyenne que l’inverse ;
- s’entraîner, s’entraîner encore toujours s’entraîner surtout pour les coups de – de 50 mètres. Les coups d’approches sont déterminants ;
- Revenir toujours aux bases si on commence à perdre pied notamment le grip, la posture l’alignement et le rythme, et aussi, le fameux triangle des bras ;
- le rythme est essentiel on parle de swing !
Sur la trajectoire de la balle : 5 déterminants
- l’orientation de la face du club
- le chemin du club
- l’angle d’attaque
- la vitesse de la tête de club
- le point de contact entre la balle et le club