Les noms d’oiseaux au golf ne correspondent pas à une insulte. Pas de jeu de mot ici, l’étiquette nous l’interdit ;).
Les coups les plus fortiches portent effectivement un nom d’oiseau.
Selon une première explication « bloggest » le terme « bird » s’appliquait à toute chose géniale au 19 ème aux États-Unis. C’était l’effet « waouh » de l’époque. Au golf, un superbe coup était donc « bird », mot qui s’est transformé par la suite en birdie.
«birdie» serait une extension de l’expression « bird of a shot » qui aurait été utilisée pour la première fois en 1899 lorsque George Crump aurait réussi un « oiselet » après avoir frappé un oiseau sur le parcours de golf d’Atlantic City à Norfield dans le New Jersey.
Plus précisément, le birdie est un coup au-dessous du PAR. Après cette dénomination acceptée, il fallait trouver encore plus fort pour les coups encore plus étonnants. Ainsi, l’albatros se dit d’un trou joué en 3 coups en dessous du PAR autrement appelé « double eagle ». L’eagle est fait avec deux coups au-dessous du PAR. Le condor est un trou 4 coups au-dessous du PAR c’est déjà bien. Mais on a aussi l’autruche, un trou en un coup au lieu de 6 et enfin mais là je n’y crois plus, le Phénix un trou en un coup au lieu de 7 mais c’et de la pure fiction…